Capital Humain

Lara Moutin Chief Transformation Officer

Lara Moutin nommée CTO en charge du Capital Humain et de la RSE d’Altavia

Lara Moutin nommée CTO en charge du Capital Humain et de la RSE d’Altavia 960 958 Altavia

 

 

Altavia accélère le déploiement de son plan de transformation et nomme Lara Moutin au poste de Chief Transformation Officer.

Avec un champ d’actions à 360°, Lara Moutin a pour mission d’animer et d’accélérer la réalisation des chantiers de transformation du groupe pour répondre aux objectifs fixés dans le cadre du nouveau plan stratégique MOVE2023 d’Altavia. Client centrisme, croissance durable, développement des talents, performance de l’organisation, etc. sont quelques-uns des enjeux structurants autour desquels s’articule le plan de transformation du groupe.

 

 

Dans le cadre de cette mission, Lara Moutin assurera également le pilotage du développement du Capital Humain, et de la RSE au niveau groupe. A ce titre elle succède à Ludovic Noël, qui vient d’être nommé Directeur Général d’Altavia AURA. Lara Moutin devient membre du Comité Exécutif groupe.

 

 

Pour mener à bien ses missions, Lara Moutin est forte d’une longue expérience professionnelle chez Unilever à différents postes, dont la direction mondiale des achats d’emballages souples, puis en tant que directrice du programme mondial Consumer et Customer Centric Supply Chain. Depuis 2012, elle est consultante sur des sujets variés de transformation : transformation marchés (huile de palme pour WWF, Public Private Projects dans le café en Afrique), transformation FMCG (Revue des process et conduite du changement, coaching et développement des talents) et conduite du projet d’éco-village hôtelier Bkerzay au Liban.

 

 

« Dans le contexte de grand Big Bang du retail que nous traversons, nous devons plus que jamais savoir évoluer pour accompagner et anticiper les grandes transformations à l’œuvre chez nos clients retailers. Si notre ADN entrepreneurial et notre organisation en fédération d’entreprises nous ont permis de toujours rester agiles, au plus près de nos clients, nous devons néanmoins accélérer notre mouvement afin de répondre aux mieux à leurs objectifs de performance » résume Raphaël Palti, Président Fondateur d’Altavia.

 

 

Altavia AURA poursuit sa transformation : Ludovic Noël est nommé Directeur Général

Altavia AURA poursuit sa transformation : Ludovic Noël est nommé Directeur Général 1181 788 Altavia

Altavia AURA, l’agence de communication commerciale du groupe Altavia en Auvergne-Rhône-Alpes, poursuit sa transformation. Ludovic NOËL est nommé Directeur Général.

Suite au rapprochement opéré avec l’agence digitale JetPulp en 2017, Altavia AURA poursuit sa dynamique de transformation et de décloisonnement de ses offres et savoir-faire et accueille un nouveau Directeur Général : Ludovic NOËL. Celui-ci succède au binôme constitué jusqu’à présent par Pierre ARTRU et Luc ROMANO, qui pilotaient ensemble le développement des deux agences suite à leur rapprochement. Cette nomination s’inscrit dans le prolongement du plan de transformation, lancé en 2017, et qui a permis à Altavia AURA de créer une nouvelle organisation offrant une proposition de valeur unique sur son marché.

 

Ludovic Noël, nouveau Directeur Général d’Altavia AURA

 

Ludovic NOËL aura pour principale mission de poursuivre la dynamique initiée par ses prédécesseurs, de définir la nouvelle stratégie de croissance de l’agence et d’en assurer le pilotage opérationnel. Pour ce faire, il peut s’appuyer sur le fort engagement des managers d’Altavia AURA et de JetPulp à ses côtés ainsi que sur une solide expérience professionnelle et une parfaite connaissance des acteurs économiques et institutionnels de la région. Ludovic NOËL a notamment été le cofondateur d’Imaginove avant d’occuper le poste de Directeur Général de la Cité du Design de Saint-Étienne. Au sein du groupe Altavia, il était précédemment Directeur du Développement du Capital Humain. Autant d’expériences qui lui seront très utiles pour mener à bien sa nouvelle mission en fédérant les équipes réparties entre Lyon et Saint-Etienne, autour de la stratégie de développement d’Altavia AURA.

 

 

De leurs côtés, après avoir mené à bien leurs missions et positionné Altavia AURA comme l’agence d’activation commerciale incontournable de la région Rhône-Alpes avec ses 145 collaborateurs, Pierre ARTRU et Luc ROMANO s’orientent vers de nouveaux challenges. Après avoir piloté Altavia Saint-Étienne puis Altavia AURA pendant dix ans, Pierre ARTRU se voit confier une mission stratégique et internationale pour le groupe et ses offres de demain, portant notamment sur le prémédia et l’asset management.

 

 

Pour sa part, Luc ROMANO va reprendre le chemin de la voie entrepreneuriale qui lui est chère et s’impliquer dans la reprise et la restructuration d’un groupe régional. Ce projet lui permettra de créer un nouveau champion de l’industrie comme il a su notamment le faire avec JetPulp ces dernières années.

 

 

Ludovic NOËL, Directeur général d’Altavia AURA précise: « Je suis fier d’aborder ce nouveau challenge et de poursuivre le travail de Pierre et de Luc, qui ont été les artisans de la réussite du rapprochement entre Altavia Saint-Étienne et JetPulp. Nous bénéficions désormais d’une offre unique couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur de l’activation commerciale : du conseil stratégique à l’idée créative, audacieuse et différenciatrice jusqu’à la mise en œuvre de dispositifs omnicanal efficients. Ce positionnement associé à l’expertise et l’engagement de nos collaborateurs, nous permet de répondre efficacement aux attentes des grands retailers et des ETI régionales. »

 

 

Valérie Gabriel, Fil Rouge : « toujours rester soi-même ! »

Valérie Gabriel, Fil Rouge : « toujours rester soi-même ! » 2560 2367 Altavia

 

Vous la connaissez peut-être, c’est la voix de Fil Rouge, elle s’appelle Valérie !

Depuis 3 ans, Valérie, dite « Valou », est standardiste chez Fil Rouge. Parce qu’elle aime l’accueil et le contact avec les gens, elle adore son métier. Entre répondre au téléphone, l’accueil des visiteurs, l’affranchissement du courrier et la gestion du quotidien de Fil Rouge, elle trouve toujours le temps de rendre service à tous les filrougiens.

 

Valou prend plaisir à travailler chez Fil Rouge grâce à l’esprit famille qui y règne. D’après elle, tous les filrougiens sont ses enfants. Toujours souriante, de bonne humeur, elle nous fait rire surtout quand elle doit parler anglais avec son interlocuteur.

 

 

Son conseil : « Toujours rester soi-même ! »

 

 

Le Raid Amazones : « Une grande leçon d’humanité et d’entraide » pour Sophie Vaux

Le Raid Amazones : « Une grande leçon d’humanité et d’entraide » pour Sophie Vaux 1600 1067 Altavia

 

En octobre dernier, Sophie Vaux participait au Raid Amazones, au Sri Lanka. Une aventure sportive pleine de défis et une expérience humaine forte, qui ont marqué la directrice de clientèle. Rencontre avec une passionnée de sport, toujours prête à sortir de sa zone de confort.

 

Parle-nous un peu de ton parcours professionnel …

J’ai travaillé dans le milieu de la communication, au sein d’une agence, comme chef de pub. Très vite, la gestion de la fabrication et de la production m’a attirée et lorsque, par la suite, j’ai été embauchée pour m’occuper de la fabrication de supports papiers pour le compte de laboratoires pharmaceutiques, ma passion s’est confirmée.

 

Il y a 7 ans, j’ai intégré Altavia In Store, où je me suis occupée de PLV. Une excellente opportunité pour développer la dimension créative de mon travail. Les métiers de la PLV sont très vivants, dynamiques et complets. Nous sommes amenés à travailler sur tous types de matériaux, en prenant en compte un certain nombre de paramètres pratiques, fonctionnels et créatifs. C’est vraiment très enrichissant et stimulant.

 

 

Comment est née ta passion pour le sport ?

Mon arrivée chez Altavia a coïncidé avec le lancement des cours de sport au sein du groupe. Ce fut l’occasion de m’y remettre sérieusement, avec Alexandre, un professeur exceptionnel. Et le sport est devenu… une drogue !

 

Puis, lors de vacances à la montagne, mon cousin m’a emmenée courir. Dans un cadre aussi incroyable que la chaîne des Pyrénées et les vignes du Jurançon, comment ne pas apprécier ? J’ai couru 45 minutes lors de ma première sortie ; non seulement j’y avais pris du plaisir mais, en plus, je m’en étais plutôt bien sortie.

 

Lorsque je suis rentrée à Paris, j’ai appelé des amies qui tentaient depuis un moment de me convertir à la course à pied – mais à Paris, cela m’avait toujours paru sans intérêt –. J’ai pris goût à ces sorties, sportives et conviviales.

 

Par la suite, j’ai commencé à faire des petites courses « officielles » chronométrées : « Les boucles du 17e », un parcours de 10 km ; le Paris-Versailles, un circuit de 16 km – sans oublier sa côte mythique – ; la « Course royale », un parcours 15 km dans les jardins du Château de Versailles.

 

Enfin, mon plus gros défi a été de participer au Raid Amazones, au Sri Lanka, en octobre dernier.

 

 

Qu’est-ce que le Raid Amazones ?

C’est une course 100 % féminine et solidaire, dont l’édition 2018 s’est déroulée du 10 au 20 octobre. Elle est composée de deux courses de 16 et 10 km, d’une épreuve de canoë de 15 km, un parcours en VTT de 48 km et une épreuve de Bike & Run de 23 km. Je me suis lancée avec 2 amies, très sportives ; et notre équipe a été sponsorisée par un ami, chef d’entreprise.

 

Nous nous sommes entrainées avec le coach d’Altavia, Alexandre, qui a concocté, pour chacune d’entre nous, un programme d’entraînement personnalisé.

 

 

Le Raid Amazones, c’est l’occasion de sortir un peu de sa zone de confort, n’est-ce pas ?

Sophie Vaux et ses coéquipières

Tout à fait. Participer à cette course, c’est tester ses limites. Et se rendre compte que l’on peut les dépasser, en allant bien au delà de ce que l’on aurait imaginé ! Si les participantes parviennent à relever de tels défis et à décupler leurs forces, c’est en grande partie grâce à l’entraide, la bienveillance et à l’esprit d’équipe qui règnent sur le Raid Amazones.

 

 

Qu’avez-vous particulièrement apprécié lors de cette expérience hors du commun ?

J’ai été très touchée par toutes les manifestations et les initiatives de solidarité. Par exemple, à l’issue du raid, les 2 équipes gagnantes reçoivent un chèque de 1000 euros, reversé à l’association qu’elles ont décidé de soutenir. 2 autres équipes sont tirées au sort et reçoivent également un chèque de 1000 euros. J’ai aimé cet état d’esprit où finalement, même si on ne gagne pas, on peut avoir la chance d’aider son association.

 

 

Chaque édition du Raid Amazones soutient une association locale. Quelle cause a-t-elle été mise en lumière cette année ?

Cette année, le Raid Amazones avait choisi de soutenir l’association Reconstruire et Vivre, créée par une française juste après le Tsunami. L’objectif : reconstruire les maisons suite à cette immense catastrophe.

 

 

Quelle a été ta plus grosse surprise durant le Raid ?

Durant notre entrainement, nous avons pratiqué le canoë sur l’Aisne, près de Compiègne. Mais au Sri-Lanka, nous nous sommes rendu compte que, faire du canoë sur une rivière, c’est une chose et qu’en mer, c’en est une autre !

 

Le paramètre « météo » a également été perturbant. Même si nous avons eu la chance de vivre un été très chaud, qui nous a permis de nous préparer dans des conditions presque réelles, l’expérience au Sri Lanka fut bien plus intense. Nous courions avec 10 degrés supplémentaires et un taux d’humidité situé entre 60 et 80 % ! Tout ceci joue énormément sur le physique.

 

 

Quels ont été les rapports avec la population locale ?

Les amies de Sophie lors du troisième jour du Raid Amazones

Cette année, le raid s’est déroulé dans une zone très peu touristique du Sri Lanka. Une région qui a subi 30 ans de guerre civile, avec lesTamouls, et qui s’est vue désertée de ses habitants. A cela, s’est ajouté le tsunami de 2004, qui a ravagé le peu qui restait.

 

L’objectif du Raid était de permettre à cette région riche d’intérêt, et dans laquelle quiconque peut se rendre en toute sécurité, debénéficier d’une réelle médiatisation.

 

Les locaux sont évidemment peu habitués à côtoyer des touristes. Alors 270 femmes courant et faisant du VTT à travers leurs rizières, vous pouvez imaginer leur surprise et leur amusement ! Ils se sont montrés très curieux et intéressés par nos exploits.

 

 

Avec quelques semaines de recul, que représente pour toi le Raid Amazones ?

Une grande leçon d’humanité et d’entraide !

 

Je suis prête à repartir avec pourquoi pas au sein d’une équipe ALTAVIA !

 

 

Etienne St Denis

Étienne St-Denis, la passion des mots

Étienne St-Denis, la passion des mots 1677 1119 Altavia

 

Directeur de la création chez CloudRaker, Étienne St-Denis est passionné d’écriture depuis l’âge de 16 ans. Il y a 4 ans, il publie son premier roman, « L’absence ». Retour sur un parcours riche, nourri de rencontres décisives, où l’écriture a eu le dernier mot.

Quel a été votre parcours professionnel ?

J’ai commencé à travailler dans une agence publicitaire, Twist Image, en 2001, avant d’avoir validé mon diplôme universitaire. Nous étions alors 6. Six ans plus tard, l’agence comptait… 125 salariés ! Entre temps, nous avons fait évoluer l’offre de service et nous nous sommes spécialisés dans le numérique. J’ai tout appris sur le tas, en lisant des livres. Aujourd’hui, Twist Image appartient au groupe WPP et a été rebaptisée Mirum. J’ai ensuite intégré SidLaee, au sein de l’équipe numérique ; j’y suis resté également 6 ans. Nous avons fait évoluer l’offre de l’agence en la diversifiant et en proposant davantage d’expériences digitales, que ce soit sur le web ou en points de vente : tablettes, projections interactives…

 

A cette époque, vous avez été témoin de gros changements, comme l’arrivée des téléphones intelligents…

Exactement. Et cela a modifié la manière de naviguer sur Internet et par conséquent, l’approche qu’on en avait : écrans plus petits, limitation des données… Nous avons dû nous réinventer. Suite à cette expérience, j’ai fait des piges et, il y a 3 ans et demi, je suis entré chez CloudRaker. L’agence était, à ce moment-là, à un tournant et cherchait à reconsolider son offre.

 

Parlez-nous un peu de CloudRaker

CloudRaker a été créé en 2001 et a toujours été spécialisée dans le digital, en ajoutant notamment, au fil des ans,  du conseil et de la production de contenus. CloudRaker a en effet lancé son propre magazine papier Cloud & Co.

 

Quel était le défi lorsque vous avez intégré CloudRaker ?

Il s’agissait de se recentrer sur l’interactif et la conception d’expériences. L’agence a notamment développé l’application Action Shot, à destination du grand public. Le principe : capturer plusieurs moments d’une action en une seule image. Plus de 2,6 millions de personnes l’utilisent à travers le monde ! Lorsque CloudRaker a rejoint le groupe Altavia il y a un an et demi, nous nous sommes logiquement focalisés sur le secteur du retail.

 

Pouvez-vous nous parler un peu de vous et de votre envie d’écrire ?

Entre 12 et 16 ans, mes deux passions étaient le dessin et la guitare. Un peu plus tard, mes parents ont suggéré, pour des raisons financières, que je me dirige professionnellement vers le graphisme et que je joue de la guitare comme hobby. Au même moment, alors que j’étais au lycée, grâce à mes professeurs de philosophie et de français, j’ai développé un intérêt grandissant pour les lettres.  Cette nouvelle passion m’a permis de trouver un autre moyen d’exprimer ma créativité. Très complémentaire. L’écriture est un medium plus tangible et plus pérenne que la musique, par exemple. Et cela demande plus de réflexion. En ce qui me concerne, en tout cas.

 

Comment est née l’idée d’écrire un livre ?

J’écrivais des nouvelles depuis l’école et je voulais me mettre au défi et  savoir si j’étais capable de mener un tel projet à terme. L’exercice cérébral de trouver les bons  mots se perd rapidement…

 

Pouvez-vous nous présenter votre livre ?

Il s’intitule « L’absence » et il est sorti il y a 4 ans. C’est un livre que je voulais très personnel et que j’ai choisi de rédiger à la première personne. Je souhaitais également lui apporter une dimension philosophique, sans qu’il ne devienne pour autant prétentieux. J’ai abordé sa conception de la même manière que mon travail au quotidien, dans le cadre de la création de sites Web. J’ai fait un plan, comme une sorte de « parcours utilisateur », à l’aide de post-its sur deux rangées. Chaque post-it représentait un événement. La rangée située au-dessus symbolisait l’évolution psychologique du personnage et celle du dessous, les moments marquants de sa vie.

 

Petit à petit, à raison d’un chapitre par mois en moyenne, mon livre s’écrivait.

 

Il a ensuite fallu faire un travail de révision, une tâche peu évidente à mener tout seul. J’ai donc fait lire mon livre à plusieurs personnes, ce qui m’a permis de prendre du recul : même si l’écriture est un exercice très personnel, il ne fallait pas oublier que dans ce cas, le but était d’en partager le résultats avec les autres.

 

Que raconte « L’absence » ?

C’est l’histoire de la compréhension que l’on a de la mort, à différentes périodes de notre vie. Le premier chapitre adopte, par exemple, le point de vue d’un enfant de 5 ans. Le second dévoile les pensées d’un adolescent de 16 ans.

 

Comment le livre  a-t-il été publié ?

La Société des Ecrivains m’a proposé un arrangement, à mi-chemin entre l’édition traditionnelle et le compte d’auteur : prendre en charge le travail éditorial, de la relecture à l’impression tandis que je devais gérer la promotion en participant, par exemple, à des événements. Lors du lancement, à Montréal, j’ai réalisé que je n’étais pas un « pro » de l’organisation d’événements !

 

Vos collègues ont-ils lu « L’absence » ?

La plupart de mes collègues ont effectivement lu le livre, et l’ont presque tous aimé. Ils ont notamment apprécié le fait que les points de vue changent au fil des chapitres, apportant une grande variété de tons.

 

Avez-vous un projet de second roman ?

Tout à fait ! Pour l’instant, le projet s’intitule « Le Duel », développant l’idée que chacun de nous souhaite laisser sa marque dans l’Histoire, trouver sa raison d’être. Un sujet sérieux, que j’essaie d’aborder, encore une fois, avec légèreté.

 

Nathalie Lemière

Nathalie Lemière : cœur de finisher, résilience.

Nathalie Lemière : cœur de finisher, résilience. 2560 1440 Altavia

Nathalie Lemière prend le départ du Marathon de Paris, accompagnée de collaborateurs du groupe Altavia.

Elle est normande. Passionnée de voile. Et toujours prête à se lancer de nouveaux défis. Arrivée chez Altavia il y a deux ans, pour intégrer le service achats papier, Nathalie Lemière souffre d’une insuffisance cardiaque depuis 2005. Pour remuscler son cœur, elle court des marathons. Toujours plus endurante et performante. Dans son Blog, Cœur de Finisher, elle raconte son histoire, son combat et son envie de repartir. Prochain challenge ? Un trekking au Japon, avec son ami Marc Vettard. Entretien avec une femme inspirante, capable de déplacer des montagnes.

 

Racontez-nous un peu votre histoire…

En 2005, j’ai subi une opération des varices, normalement banale. J’ai attrapé un staphylocoque doré et suis restée plongée dans le coma pendant 15 jours. Deux arrêts cardiaques, un œdème pulmonaire, un arrêt des reins… les complications se sont succédées. Le staphylocoque détruit le corps, petit à petit. Mon cas était même désespéré selon les médecins. Mais… je m’en suis sortie. Et durant mon coma, je sais que j’ai beaucoup rêvé de bateaux.

 

Que s’est-il passé, lorsque vous vous êtes réveillée ?

J’ai dû réapprendre à marcher. Et j’ai découvert que mon cœur était très fatigué, à 40% amputé – les crises cardiaques nécrosent ce muscle –. Je ne me suis pas laissé abattre et voilà comment, 3 ans plus tard, j’ai commencé à me lancer des défis personnels, comme la course à pied. Mon cardiologue m’a encouragée et m’a même invitée à courir le marathon ou les 100 kilomètres de Millau ! Une manière, pour lui, de me dire qu’il fallait que je coure en endurance, pour remuscler mon cœur. Le plus longtemps possible, sans objectif de chronomètre, sans aller trop vite. L’objectif est de dompter l’insuffisance cardiaque qui vous rend essoufflé au moindre effort, et de mieux la vivre. Cela fait maintenant 12 ans que, chaque année, je me lance des challenges.

 

Quel est le dernier défi que vous avez réalisé ?

Le tour du Mont Blanc, en Juillet 2017. 170 kilomètres, 10 000 mètres de dénivelé, des cols à 2700 mètres d’altitude… Je suis revenue complètement transformée de ces 10 jours. J’ai décidé de témoigner de mon aventure et de mon combat, à travers un blog, Cœur de finisher. Et de partager, avec le plus grand nombre, mon envie de repartir !

 

Quels sont les bénéfices pour votre corps ?

J’ai divisé par 8 mon dosage en médicaments. Grâce au sport, à l’endurance et à la force de mon mental.

 

Vous êtes également une passionnée de voile ?

Absolument. J’ai navigué au Havre dans un club, et je me suis également occupée de la communication d’un projet porté par Damien Seguin, qui est médaillé aux JO d’Athènes et qui se bat pour naviguer avec les valides sur son bateau appelé Des Pieds et Des Mains. A l’époque, c’était révolutionnaire : personne ne voulait naviguer avec lui. Il a donc fait équipe avec l’un de mes amis, Denis Lemaître. Et c’est ainsi que je suis entrée dans l’aventure, m’occupant de la brochure, du site Internet de Denis Lemaître …

 

Quand j’ai vu Commeunseulhomme, j’ai également tout de suite adhéré. En tant que voileuse, je suis toujours sur la ligne de départ ou d’arrivée des marins !

 

Lorsque je suis arrivée chez Altavia, j’ai eu l’agréable surprise d’apprendre que le groupe sponsorisait son bateau, pour le Vendée Globe.

 

Parlez-nous du projet que vous aimeriez réaliser, au Japon…

J’aimerais partir dans les « Alpes japonaises », avec Marc Vettard, que j’ai rencontré sur le Tour du Mont Blanc et qui est devenu un ami. J’ai découvert qu’au Japon, il y avait tout un circuit appelé le Pèlerinage des temples, l’équivalent de St Jacques de Compostelle. Sans oublier le mont Fuji, qui culmine à 3776 mètres. L’objectif est de pouvoir faire des reportages sur ce que je vois et de partager mon cheminement intérieur.

 

Je suis actuellement à la recherche d’un sponsor ou d’un mécène. J’ai déposé un dossier chez Altavia, qui s’est impliqué également lors de la semaine du handicap en faisant imprimer des T shirts.

 

En attendant, vous poursuivez l’entrainement ?

Je ne m’arrête jamais, sinon les bénéfices seraient perdus. Je cours beaucoup de marathons – j’en suis à mon dixième !- , mais aussi des trails de 90 kilomètres en étape. Je fais également des épreuves d’endurance de 6 heures. Je prépare la transition vers le trek.

 

Mon cardiologue me conseille de courir tout le temps, en endurance, et surtout de ne pas me blesser pour éviter les périodes de repos forcé.

 

Quel est votre meilleur souvenir de marathon ?

Le marathon de Paris et ses 40 000 coureurs. Lorsqu’on arrive au 30e kilomètre et que l’on passe près de la Tour Eiffel, voir le public faire une haie d’honneur et crier « Ne lâchez rien ! » est une expérience extraordinaire.

 

Pour plus d’informations, rendez-vous sur :  http://coeur-de-finisher.org

 

Fusion d’agences : comment rapprocher deux cultures d’entreprise différentes

Fusion d’agences : comment rapprocher deux cultures d’entreprise différentes 2098 895 Altavia

Anne-Catherine Trinon, PDG d’Altavia ACT*, nous explique la façon dont elle a réussi la fusion de son agence belge spécialisée dans les services marketing.

 

 

Dans la vie d’une entreprise, quel que soit le secteur auquel elle appartient – marketing et communication, publicité, ou autre – une fusion est toujours un moment particulier. Et c’est seulement une fois la paperasse administrative réglée que le véritable travail commence : il faut s’assurer que vos collaborateurs adhèrent tous au projet et partagent la même vision.

 

En 2015, ACT*, l’entreprise que j’avais fondée en 1997, a été rachetée par le groupe Altavia. Cette fusion constituait une étape logique, car les deux entreprises se spécialisaient dans les services marketing aux professionnels de la vente. C’est ainsi que, ces dernières années, j’ai eu le plaisir de diriger l’agence Altavia ACT* nouvellement formée.

 

Une fusion n’est jamais simple, mais voici quelques étapes fondamentales pour faciliter le processus. Elles participent d’une intelligence collective – un principe inscrit dans l’ADN de notre agence.

 

Anticiper le changement pour se transformer plus rapidement

Un mois avant l’annonce de la fusion, la direction avait organisé un séminaire durant lequel nous avions étudié attentivement les conséquences et les écueils de cette fusion. Il nous a permis d’anticiper les craintes, les doutes et les refus que chacune des deux parties pourrait être amenée à exprimer. Il va sans dire que le jour de l’annonce a été soigneusement préparé afin de jeter les fondations de la transformation engendrée par ce changement radical.

 

Annoncer la fusion avec assurance et ménagement, puis écouter

Après avoir annoncé la fusion aux deux entreprises de façon séparée, tous les collaborateurs se sont vu remettre une FAQ contenant les réponses à la plupart de leurs questions. Nous avons également mis en place une zone sanctuarisée où tous les collaborateurs pouvaient se rendre pour écrire leurs questions ou leurs doutes sur le mur, de façon anonyme. Tous les jours, je passais personnellement les voir et prenais soin de répondre à leurs questions aux côtés de l’équipe de direction.

 

Se rassembler et faire connaissance…

Puisque je dirigeais déjà ACT*, mais que j’étais nouvelle chez Altavia, je me suis entretenue individuellement avec chaque collaborateur pour discuter de notre avenir commun. Tout pouvait être exprimé : il était entendu que ces échanges resteraient entre nous. Peu après, nous avons réuni les équipes et les avons incitées à se demander ensemble comment collaborer de façon plus rapprochée, comment leurs compétences pouvaient se compléter, et ce que chacune pouvait faire spontanément pour faciliter le processus.

 

Ludovic Noël rejoint le groupe Altavia en tant que Directeur du Capital Humain

Ludovic Noël rejoint le groupe Altavia en tant que Directeur du Capital Humain 725 851 Altavia

Ludovic Noël rejoint le groupe ALTAVIA,en tant que Directeur du Capital Humain et devient membre du Comex Groupe.

Ludovic Noel
« Face aux mutations des enjeux du retail et de nos métiers, la mission de la Direction du Capital Humain est d’apporter des outils opérationnels aux différentes BU d’Altavia pour notamment libérer les énergies, diffuser une culture commune de l’agilité et de partage d’expériences, penser les espaces de travail de demain, améliorer la formation de nos équipes et la qualité de leurs services » , confie Raphaël Palti, Fondateur et Président-Directeur Général du Groupe.

À 46 ans, Ludovic Noël est spécialiste depuis 20 ans des champs de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Il a notamment dirigé le pôle de compétitivité Imaginove de 2006 à 2011, cluster de 150 entreprises spécialisées dans les industries de l’image (jeu vidéo, web, audiovisuel) pour les accompagner sur les évolutions des usages digitaux.

Depuis 2011, Ludovic dirigeait l’établissement stéphanois qui rassemble : l’Ecole Supérieure d’Art et Design de Saint-Etienne, la Biennale internationale Design Saint-Etienne et la Cité du design. Il poursuit, depuis ces dernières années, un parcours professionnel engagé dans l’accompagnement de l’innovation des entreprises face aux mutations.